![]() |
Un petit tour chez les 12-25 ans |
![]() Infirmière magazine n° 122 décembre 1997 - Enquête A. Bodechon 12,7 millions d'élèves des premier et second degrés (année 1996). La santé des adolescents scolarisés : 63 % ont des conduites violentes, 42 % occasionnellement et 19 % régulièrement. 62 % prennent trois repas par jour; 50 % consomment de l'alcool (surtout de la bière), 40 % occasionnellement et 12 % plus régulièrement. 50 % se disent fatigués, 20 % se plaignent de céphalées, de douleurs digestives et de réveils nocturnes. 23 % ont des idées suicidaires, 9 % y pensent fréquemment, 7 % ont fait une tentative de suicide; 20 % fument, dont 15 % quotidiennement et 8 % occasionnellement. 17 % ont pris des médicaments contre la nervosité, l'angoisse ou pour mieux dormir; 15 % ont subi des violences physiques et 4 % des violences sexuelles; 14 % ont fait l'expérience de drogue illicite (cannabis 12 %, cocaïne 1,1 %, héroïne 0,9 %); 7 % ont une pathologie dépressive; La
promotion de la santé des jeunes est une priorité nationale
de santé publique, tel en a décidé le Gouvernement
dans son projet de loi de financement de la santé pour 1998.
Une loi qui devrait être votée en cette fin d'année
par le Parlement. Que retiendront alors nos députés des
dix-huit mesures proposées par la seconde Conférence nationale
de la santé (CNS), nul ne le sait encore ; En attendant, l'alerte
donnée par les différents rapports et enquêtes
de ces dernières années a bel et bien été
entendue. Il devient urgent de se préoccuper de la santé
des jeunes et notamment des jeunes en souffrance. (rappel : article
paru décembre 1997).
"Si l'on prend la définition de la santé dans sa globalité, explique Christine RIBLET, infirmière de l'Education Nationale au Lycée du Grand-Chenois, de Montbeliard (Doubs), je ne suis pas sûre que les jeunes soient en très bonne santé. Parmi ceux que je vois, certains sont sous médicaments antidépresseurs, d'autres présentent des problèmes de sommeil ou ne mangent pas à leur faim pour des raisons d'ordre économique…" Des propos que viennent confirmer les enquêtes réalisées par Marie Choquet et l'unité 169 de l'INSERM(1) et qui montrent que, même si la situation n'est pas catastrophique, elle est néanmoins préoccupante. Un terme qui a d'ailleurs été repris par le Haut comité de santé publique (HCSP) dans son dernier rapport annuel. "L'état de santé des jeunes dans la tranche d'âge de 15 à 24 ans est préoccupant : chez les garçons, les accidents sont à l'origine de plus de 7O % des décès, le suicide de 15 %, et les maladies de 12 % (…) Cette
position défavorable de la santé en France entre 15 et
24 ans est corroborée par d'autres indicateurs concernant
les conduites violentes, la violence subie, les tentatives de suicide,
la consommation de substances licites (alcool, tabac) ou illicites (stupéfiants,
psychotropes et tranquillisants hors prescription médicale).
L'ensemble de ces données témoigne d'un mal-être
dont la gravité ne doit pas être sous-estimée et
qui est vraisemblablement le résultat de l'histoire physique
et mentale de l'enfant depuis sa naissance ainsi que de l'environnement
dans lequel sa croissance s'est faite;" Un rapport qui réclame
qu'une politique globale en faveur de la santé des enfants et
des jeunes soit mise en œuvre en urgence. (…) Des propositions reprises
par la Conférence nationale de la santé qui pointe clairement
les difficultés : "Des dangers apparaissent dans les domaines
des troubles du comportement, de la communication, de l'insertion
sociale et professionnelle et dans de nouveaux problèmes
médicaux tels que les affections respiratoires favorisés
par la pollution ou les déséquilibres nutritionnels. (…)
Le contexte est celui d'une société anxiogène et
incertaine (…) La promotion de la santé des enfants et des adolescents
est un enjeu capital dans notre société marquée
durablement par le chômage, un déficit de perspectives
et de valeurs, une compétition toujours plus grande. (…)
|
VII-1
|
|||||||||||
![]() Pourcentage d'élèves vaccinés contre l'hépatite B en classe de 6ème en milieu scolaire en 1995. source CNAM |
![]() Le Comité d'éducation pour la Santé, qui organise les campagnes de prévention, sans oublier la protection judiciaire de la jeunesse et l'aide sociale à l'enfance qui protègent les jeunes en danger. Par ailleurs, les prises en charge des problèmes de santé sont également découpées selon la discipline dont elles relèvent, le somatique d'une part, le psychique de l'autre et la prévention par ailleurs; Enfin, à l'adolescence, les jeunes sont confrontés à une double problématique, celle de leur âge et du passage du monde de l'enfance à celui des adultes et celle de l'évolution d'une société dont les repères traditionnels sont bouleversés. (…) En fait, les difficultés des adolescents d'aujourd'hui sont le reflet de cette profonde mutation. Tout comme leurs problèmes de santé et, ce, d'autant plus qu'ils se trouvent en grande difficulté sociale. Car les jeunes non scolarisés sont encore plus touchés que les autres. Un sur quatre déclare souffrir de troubles anxieux, 10 % de dépressions, 42 % des garçons et 47 % des filles se plaignent d'impression de fatigue, de maux de tête, de douleurs digestives, de nausées, de douleurs dorsales, de réveils nocturnes et de cauchemars. Des chiffres qui parlent d'eux-mêmes !
"Quant aux structures de prise en charge spécialisées
pour les adolescents, affirme Serge Lesourd, psychanalyste, responsable
de recherche au GRAPE (Groupe de Recherche et d'Action pour l'Enfance),
elles manquent cruellement dans tous les domaines. Que ce soit pour
accueillir les jeunes qui font une tentative de suicide ou les
adolescents en errance, mais aussi ceux qui présentent une pathologie
chronique et qui nécessite une prise en charge particulière
à cet âge charnière de la vie". Un point également
capital quand on sait que, parmi les trois premières causes d'hospitalisation
des adolescents, l'hospitalisation pour une maladie chronique arrive
en seconde position (36 %) après les troubles somatiques divers
(38 %) et avant les tentatives de suicide (23%). (Selon
une enquête du SESI du Ministère des Affaires Sociales
réalisée en 1995) |
|||||||||||
![]() Une formation supplémentaire parce qu'un entretien avec un adolescent ne s'improvise pas. Il nécessite du temps, une mise en confiance et surtout de savoir décoder… "Les jeunes qui fréquentent l'école ne sont pas malades mais tous ceux qui viennent me voir ont, avant tout, un grand besoin d'écoute et d'attention", raconte Christine Riblet. Les infirmières de l'Education nationale ont un rôle pivot et doivent être très attentives. Le mal-être des jeunes n'est pas seulement lié au fait qu'ils sont en pleine adolescence. Il est amplifié par les difficultés des familles à faire face aux problèmes socio-économiques. Et derrière les troubles du sommeil, les maux de tête ou les coliques, se trouvent souvent d'autres difficultés qu'il faut savoir décoder. Mais pour cela , il faut du temps et de la disponibilité. Deux notions essentielles. "Du temps, il faut absolument savoir en prendre avec les adolescents, insiste Marie-Pierre Archambault, médecin pour adolescents à Paris et à la consultation spécialisée de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). Car ils ont tous besoin que l'on entende quelque chose de leur développement en plus du symptôme qu'ils présentent. C'est pourquoi il faut que les premiers interlocuteurs d'un adolescent soient à l'écoute. Tous les professionnels de santé sont en première ligne, ils doivent apprendre à mener un entretien avec un adolescent ! " Et savoir poser les bonnes questions : l'interroger sur son arbre généalogique, sa famille, sa fratrie, mais aussi lui poser des questions sur l'éventuelle arrivée d'un nouveau bébé ou la survenue d'un deuil. Sa scolarité, son insertion dans un groupe de pairs, ses pôles d'intérêts, ses sorties, son hygiène de vie et sa sexualité seront également abordés si besoin. Tout est important et peut être relié à l'apparition de symptômes. L'examen clinique sera complété par des questions sur son sommeil, son alimentation et sur son corps, bien sûr. Un corps en pleine transformation au centre de ses préoccupations. C'est comme cela qu'on peut faire le tour des choses, poursuit-elle. Or, cela prend du temps car il faut tout reprendre ensuite avec les parents. Mais attention, ce n'est pas un entretien psychothérapique. C'est un entretien médical avec un adolescent pour savoir où il en est !". C'est à partir de là que peut commencer un travail de soins mais aussi de prévention. Car la prévention est indissociable du soin, surtout à l'adolescence. A cet âge de la vie, explique le Professeur Jean-Pierre Deschamps, de l'école de santé publique de Nancy, il n'y a pas de limite formelle entre ce qui relève de la prévention ou du soin curatif. Quand on écoute un adolescent parler de ses difficultés, c'est de la prévention et c'est très souvent aussi la prise en charge de difficultés de santé physique ou de santé mentale. Et là encore il n'y a pas beaucoup de limite entre les deux !"
Mais pour que cela existe, faut-il encore que la politique de santé
de l'enfant et de l'adolescent soit complètement repensée
en France. (…) La santé universitaire qui reçoit très
directement le malaise des jeunes ou encore des centres de planification
familiale. (…)
Ses missions. Elles sont multiples : accueil des élèves et des parents; participation aux bilans de santé; participation au suivi de l'état de santé des élèves; participation à la surveillance des jeunes exposés à des nuisances spécifiques; surveillance sanitaire de l'hygiène générale en milieu scolaire; éducation à la santé et à la sécurité par la réalisation de séances d'éducation à la santé, par l'animation des clubs santé, par la participation aux actions des points-rencontre ou par un enseignements des gestes de premiers secours…; participation aux recherches en matière d'ergonomie, d'hygiène et de sécurité en matière d'épidémiologie … Pour assurer tout cela, elles étaient, en 1996, 5 200 infirmières pour 12,7 millions d'élèves des premier et second degrés, soit une infirmière pour plus de 2 400 élèves (…) En attendant, elles ont assuré plus de 11 millions de passages dans leurs infirmeries en 1994-95, 33 % pour des traitements ambulatoires, 0,7 % des urgences et 36 % des causes diverses (maux variés, malaises…). Des petits maux qui bien souvent, sous-tendent des difficultés plus grandes. Car l'infirmière scolaire est très souvent consultée par les adolescents, notamment ceux qui sont le plus en difficulté.
Depuis la circulaire de 1988 sur l’amélioration des conditions d’hospitalisation des adolescents, la sensibilisation des professionnels hospitaliers a permis le développement d’une « médecine de l’adolescent » dans certains établissements français. Cependant, celle-ci reste insuffisante. Dans le cadre d’une enquête nationale, le docteur Patrick Alvin, du service de médecine pour adolescents de l’hôpital du Kremlin –Bicêtre, n’a recensé qu’une quarantaine de services de pédiatrie disposant d’une structure d’accueil pour adolescents. Et sur ces quarante services, seuls vingt-cinq ont une organisation de soins spécifiques. Pourtant, un adolescent sur dix est hospitalisé dans l’année et, pour 2% au moins, trois fois (enquête nationale adolescents, INSERM 1994).
En dehors des urgences, la moitié des motifs d’hospitalisation
parmi les 13-19 ans concerne les traumatismes, les affections
chirurgicales et les maladies somatiques chroniques. Les adolescents
sont répartis dans les différents services hospitaliers,
en fonction de la pathologie présentée, mais pas pas obligatoirement.
C’est ainsi que pour les « problèmes psychiatriques
» (5 % de l’ensemble), dans plus de 40 % des cas, les adolescents
sont dirigés ailleurs qu’en service psychiatrique. Quant aux
adolescents admis à la suite d’une tentative de suicide (10 %
des urgences « adolescents »), plus du quart n’est gardé
que moins de 24 heures et une fois sur trois aucun véritable
entretien d’évaluation n’a lieu. Des données, publiées
dans un récent rapport sur l’hospitalisation des adolescents
qui montrent combien il est nécessaire de faire avancer les choses
en France et de mettre en place une prise en charge qui sache tenir
compte de leurs attentes et surtout de leurs besoins. Pour les auteurs de ce rapport, « les modalités thérapeutiques ne sont pas identiques selon que l’état des sujets requiert des soins surtout physiques ou surtout psychiques et il en serait pas tolérable, au nom d’une spécificité générale de la population adolescente, de confondre les rôles et fonctions de chacun. . Néanmoins, quelle que soit la discipline concernée, l’organisation requise des services et des équipes accueillant des adolescents présente de nombreux points communs.
Parler d’une approche spécifique implique la reconnaissance d’une
clinique de l’adolescent et une clinique de l’adulte. La clinique
de l’adolescent a des caractéristiques qui lui sont propres :
concentration sur le corps en développement et son image, crainte
d’être différent des autres, importance des relations avec
les pairs, prépondérance de l’agir avec, à cet
âge, l’émergence possible de troubles des conduites. De
plus, l’adolescence est une période de l’existence où
l’on s’essaye à des expériences plus ou moins risquées
mais souvent nécessaires à l’acquisition d’une autonomie
ultérieure. La maladie, qu’elle soit physique ou
psychique, vient parfois durablement entraver ce processus d’autonomisation
qu’il faut savoir protéger et accompagner. Tous ces éléments
déterminent, entre autres, des particularités dans l’organisation
des équipes ayant pour mission de prendre en charge les jeunes
».
Des équipes qui doivent non seulement être formées,
mais aussi associer des professionnels différents (psychiatrie,
médecinesomatique, secteur social…). En conclusion, les
auteurs du rapport estiment que « chaque département devrait
pouvoir disposer d’au moins une structure hospitalière polyvalente
où quelques lits pour les adolescents soient officiellement identifiés
en tant que tels en pédiatrie et en psychiatrie. A l’échelon
régional, au moins un CHU devrait être doté d’une
structure plus spécialisée, pédiatrique ou psychiatrique.
Une telle structure aurait en outre comme mission l’enseignement et
la recherche ».
Chez l’adolescent, il existe une certain nombre de signes qui, pris
isolément, ne retiennent pas forcément l’attention de
l’entourage. Mais lorsqu’ils se cumulent, se répètent
et s’accentuent, doivent impérativement être pris au sérieux.
Fondation
de France,
Groupe de recherche
et d’action pour l’enfance et l’adolescence. (GRAPE)
|
VII-2
VII-3
VII-4 ...si vous êtes triste, c'est donc quelque chose qui vous manque, quelque chose qui ne vous a pas réussi. Stendhal.
|
|||||||||||
![]()
![]()
VII-6
![]()
VII-7
![]()
![]()
|
1 - Bon état
physiologique ; Fonctionnement régulier et harmonieux
de l’organisme humain pendant une période appréciable
(indépendamment des anomalies ou des traumatismes qui n’affectent
pas les fonctions vitales : un aveugle, un manchot peuvent avoir la
santé). « L’état de santé est reconnaissable
à ceci que le sujet ne songe pas à son corps »
(Duhamel). Force et Santé. Respirer la santé. Perdre,
recouvrer la santé.
Etat de complet bien-être physique, mental et social, ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. (Définition de l’OMS, 1946). (Dict. Médical Masson)
I - Adj. Peu avancé
en âge. Opposé à vieux.
1 - Temps
de la vie entre l’enfance et la maturité. L’adolescence, première
partie de la jeunesse.
"Mot
anglais" employé par Seleye (1936) pour exprimer l'état
réactionnel d'un organisme soumis à l'action d'un excitant
quelconque.
I- Adj. (1155).
I-
Toute altération de l’état de santé, plus précisément, ensemble de signes et de symptômes anormaux en rapport avec des troubles fonctionnels ou des lésions, en général dus à des causes internes ou externes, le plus souvent bien connues. (…) Le critère le plus souvent invoqué pour la maladie est sa cause bien définie, connue, unique et toujours la même. V. noso-, path-, -pathie. (Dict. Médical Masson)
1 - Ce qui
cause de la douleur, de la peine, du malheur ; ce qui est mauvais, nuisible,
pénible (pour quelqu’un). V. Dommage, perte, préjudice,
tort (…) . ° Un mal, des maux. V . Affliction, désolation,
épreuve, malheur, peine (…)
Dans les pays où coexistent un secteur public et un secteur privé ; ensemble des efforts organisés de la collectivité, dans le domaine de la santé et de la maladie : la thérapeutique individuelle en est plus ou moins exclue. (Dict. Médical Masson)
1 -
Etude des maladies épidémiques (infectieuses).
Augmentation du gaz (anhydride) carbonique du sang, telle qu’on l’observe par ex. dans les asphyxies (a. hypercapnique). (Dict. Médical Masson)
1 -
Dr. Qui ne s’exerce que grâce à une autorisation révocable
(…). V. Détention.
Qui n’est pas en état de mener une vie active, de travailler, du fait de sa mauvaise santé, de ses infirmités, de ses blessures. Etc. V. Impotent, infirme.(Dict. Robert)
(XIXe) Mod. Etat d’une personne invalide. Diminution de la capacité de travail (des deux tiers au moins). Pension d’invalidité.(Dict. Robert)
1 -
Etat de celui, de celle qui est incapable (de faire quelque chose).
V. Impossibilité, impuissance (à), inaptitude. «Leur
incapacité de comprendre ce qui les dépasse»
(GIDE).
Malaise psychique ou physique, né du sentiment de l’imminence d’un danger. (Dict. Robert)
Sensation de malaise psychique carac(térisé par la crainte d’un danger imminent réel ou imaginaire. (Dict. Robert)
Sentiment d’abandon, de solitude, d’impuissance que l’on éprouve dans une situation poignante (besoin, danger, souffrance). V. Affliction, angoisse, désarroi. (Dict. Robert)
En médecine, état pathologique caractérisé par la défaillance grave d’une ou de plusieurs fonctions (…). (Dict. Médical MASSON)
En anatomie, réseau entrelacé de nerfs, de vaisseaux sanguins ou lymphatiques.(Dict. Robert)
Trait de caractère entraînant le sujet à ne pas pouvoir se fixer à une tâche, à persévérer dans une entreprise, par la suite d’une insuffisance des contrôles psychiques et moteurs. (Dict. Robert)
1 -
Synonyme de diaphragmatique.
Etat déficitaire d’un organe ou d’une glande, qui n’est plus capable de remplir normalement ses fonctions (Dict. Médical MASSON)
1 -
Sentiment d’abandon, de solitude, d’impuissance
que l’on éprouve dans une situation poignante (besoin, danger,
souffrance). V. Affliction, angoisse, désarroi.
« Une détresse accablante l’envahit, une sensation affreuse
de solitude et d’impuissance » (Genevoix). Une âme en détresse.
1 -
Désorganisation complète. V. Confusion, désordre.
1 -
Vx : état de celui qui n’est pas à son aise pécuniairement.
V. Embarras, gêne (…).
|
|||||||||||
Retour | Suite : Des témoignages... |